« AUTEUR : Moctar SISSOKO »
Le directeur général des Jeunes Volontaires pour l’Environnement du Sénégal (JVE Sénégal), Djibril Niang, a présidé, hier, mardi 30 juillet, à Dakar, la cérémonie d’intégration des volontaires de JVE SENEGAL de la « cohorte 2024-2025 ».
La cérémonie d’intégration des volontaires pour l’Environnement du Sénégal (JVE Sénégal) de la cohorte 2024-2025, s’est déroulée en présence du chef de projet de petites actions faisables pour la promotion des droits de l’environnement (PAFE), Abdoulaye Niang et les partenaires ainsi que les volontaires de la ‘’cohorte 2024-2025’’, qui sont composés de soixante (60) volontaires pour l’Environnement du Sénégal (JVE Sénégal), œuvrant pour la protection de l’environnement.
En effet, les Jeunes Volontaires pour l’Environnement du Sénégal (JVE Sénégal) est une organisation de la société civile, apolitique et à but non lucratif qui œuvre pour la protection de l’environnement. Elle a été créée en décembre 2010 et comporte plusieurs branches locales.
Elle a pour but d’aider les jeunes et les femmes à s’épanouir tout en contribuant au développement durable dans tous ses aspects. Elle se donne comme mission de développer le leadership et l’écocitoyenneté des jeunes et des femmes en vue de leur implication dans l’action pour le développement durable.
« L’un des plus grands enjeux au niveau de l’environnement c’est implication des jeunes et aussi il y a la participation des jeunes. Aujourd’hui on parle beaucoup de jeunes, mais rare les jeunes qui sont impliqués, rare les jeunes qui participent même s’ils sont impliqués. Il y a le problème de participation », deplore-t-il, le DG des JVE SENEGAL, Djibril Niang, en répondant à la question du niveau de l’implication des volontaires de JVE SENEGAL de la nouvelle « cohorte 2024-2025 », à travers leur projet de petites actions faisables pour la promotion des droits de l’environnement (PAFE).
IL a ajouté aussi, « aujourd’hui, quand on parle beaucoup de jeunes mais rare les jeunes qui sont impliqués, rare les jeunes qui participent même s’ils sont impliqués il y a le problème de participation des jeunes. Nous nous sommes dit qu’il faut les impliquer en amont et quand ils sont étudiants et quand ils sont élèves. IL faut les impliquer, il faut les montrer comment ils doivent parler en public. Quand ils sont impliqués dans les instances de décisions comment ils doivent s’organiser tout ça », a-t-il expliqué, M. Niang.
Le projet vise à former, à travers le renforcement des capacités des jeunes et à les accompagner, afin qu’ils puissent participent tout ce qui est l’action climatique.« La nouvelle ‘’ cohorte 2024-20255’’ va au-delà des JVE SENEGAL, n’est pas la seule organisation au Sénégal qui a besoin de ces jeunes, toutes les organisations œuvrant dans le domaine de l’environnement auront besoin de ces jeunes et idem pour les ONG évoluant dans le domaine de l’environnement auront aussi besoin de ces jeunes, car ce sont des jeunes engagés et motivés qui sont prêts à travailler sur le terrain », a-t-il laissé entendre, le DG NIANG lors de la cérémonie d’intégration des volontaires pour l’environnement, s’est tenue au Jardin Botanique à la Faculté des sciences et techniques de l’UCAD, ce mardi 30 juillet, 2024.
Selon le chef de projet de petites actions faisables pour la promotion des droits de l’environnement (PAFE) dénommé la cohorte 2024-2025, Abdoulaye Dieng « les acteurs ciblés sont : les jeunes, les élus locaux et les journalistes », a-t-il argué, ce projet de deux ans a été financé par le Royaume des Pays-Bas, qui est composé des 6O volontaires pour la protection de l’environnement, est piloté par les Jeunes Volontaires pour l’Environnement du Sénégal (JVE Sénégal).