C’est Macron qui en voit de toutes les couleurs. En voulant prouver aux Français qu’il est le vrai boss, le maitre de la situation après l’exécution de l’enseignant qui montrait à ses élèves des caricatures du prophète, le président français s’est piégé lui-même en refusant de délimiter le pourtour de la liberté d’expression.
Son meilleur ennemi le président Erdogan lui a rappelé d’ailleurs le contraire même pas une seconde après, avant de passer la balle à ses frères musulmans que le gnome de Paris commencer à agacer.
Le président Macron a ainsi commis la bourde de sa vie car si la liberté d’expression est une richesse reconnue à l’homme, parfois elle peut passer au second plan en face des intérêts des pays.
Il essaie néanmoins de calmer le jeu sachant qu’il est allé trop loin dans ses diatribes contre le monde musulman et se doit maintenant d’avoir les reins solides pour encaisser les contrecoups de son inquisition singulière.
Car même avec les soutiens du bout des lèvres de ses copains de l’UE, il n’est pas sûr de sortir gagnant de ce bras de fer avec certains pays musulmans.
À ses risques et péril.