« Mahammed m’appelait affectueusement petit frère. La dernière fois que je l’ai vu, il était venu me présenter ses condoléances lors de la disparition de ma mère. Je le remerciais en lui disant que les adversités ou plutôt les divergences ou plutôt les différences politiques ne devraient pas occulter les amitiés et les fraternités qu’il nous faut toujours assumer. À son épouse, à sa famille et au peuple sénégalais, je présente mes condoléances attristées et prie le Misericordieux de l’accueillir à Firdawsi ».