« AUTEUR : Ibrahima NGOM/GUÉDIAWAYE »
On le dit souvent et la réalité ne cesse de le démontrer: Aussi illustre inconnu qu’on puisse être au Sénégal, il suffit tout simplement de gifler un saint pour s’attribuer une réputation indue. Oumar Sow vient d’en donner la preuve et de la plus funeste des manières.
Chassez le naturel, il revient au galop. Omar Sow s’est encore exercé à son jeu favori de la manipulation des esprits par des sorties fracassantes sur fonds d’une agitation propre à un détraqué. Il a eu le toupet d’accuser le Président Abdoulaye Daouda Diallo de le menacer de mort.
Il est tout à fait compréhensible qu’ O. Sow se soit réveillé groggy par la tournure prise par le contexte politique actuel. Mais est-ce bien une raison pour porter des accusations aussi abracadabrantesques et gravissimes, imaginaires et fausses sur le Président du CESE. Qu’est-ce qui pourrait bien le pousser à tomber si bas pour proférer des menaces de mort à son endroit.
Le premier réflexe de survie d’une personne menacée aussi gravement de mort devrait être de porter plainte auprès de services compétents en la matière avec des preuves tangibles comme les traces d’appels téléphoniques qu’on peut avoir facilement à travers les opérateurs de téléphonie mobile. Quelqu’un qui est réellement menacé de mort ne s’en émeut point pas sur la place publique, à moins qu’il ne veuille susciter l’attention sur lui, au point même de gêner l’enquête que l’acte décrié aurait nécessité.
A y voir clair, Omar Sow est en proie à des délires diaboliques qui trouvent leur justification dans sa pathologie paranoïaque et de mystificatrice qui le ronge. Dans sa dénonciation calomnieuse et son alerte imaginaire funeste.
Le fait qu’il est qualifié d’évènement-c’en n’est pas un-une agression dont il pourrait être victime conforte qu’il est un mythomane déséquilibré que ses proches feraient mieux de raisonner à défaut de l’interner dans une structure psychiatrique avant qu’il ne franchisse le rubicond. Moribond politiquement, carent intellectuellement
cela se comprend aisément qu’il veuille user et abuser de voies détournées pour s’élever vaille que vaille au niveau du Président Abdoulaye Daouda Diallo pour se mettre du baume au cœur. Peine perdue et entreprise machiavélique vouée à l’échec. Il ne boxe pas dans le même ring que lui.
Ibrahima NGOM
Guédiawaye.