« Une presse libre est le symbole d’un pays libre ». Nous en convenons tous. Mais, la liberté de la presse ne doit pas être un prétexte pour ouvrir les portes à l’anarchie,au désordre étatique. Cela appelle alors à la responsabilité des principaux acteurs qui tournent autour de cette profession que nous respectons bien.
La presse est un pouvoir. On va jusqu’à l’octroie le rang 4, donc le quatrième pouvoir de par sa capacité à pénétrer les mass. D’où son appellation les « mass média ». Aux États-Unis d’Amérique, la presse a provoqué la chute du numéro 1 des américains, Ronald Reagan dans l’affaire Watergate dans les années 80.
Au Sénégal, la pluralité médiatique a de vieux os. Les journalistes ont, sur ces entrefaites, participé à l’émergence des idées , à la survenue de l’alternance politique en 2000 et en 2012.
Aujourd’hui, le Président de la République Macky Sall est le premier partenaire des médias par ce qu’il est conscient de l’apport des journalistes pour la vitalité de notre démocratie. Pour le cas Pape Alé Niang (PAN), il ne sert à rien d’ameuter tout le monde. Il a fait un abus du 4ème des pouvoirs. Voilà un homme qui, à longueur de journée, traîne dans la boue le Président de la République et son pouvoir. Nos forces de défense et de sécurité ne font pas exception.
Tout le peuple constate ce large PAN de contre-vérités qu’il véhicule sur l’affaire Adji Sarr/ Sonko. Je ne vois pas l’utilité pour ses confrères de s’ériger en défenseurs de celui qui cherche à semer les graines de la haine au Sénégal.
*Mamadou Ndiaye alias Ndiaye Bambey,
Responsable politique APR à Bambey.