On a comme l’impression que le destin s’acharne sur le sieur Cheikh Gadiaga sinon comment comprendre le comportement peu scrupule de « Sa Dinguiraye ». Tant il continue d’accumuler les gaffes les plus graves
(pardon de la tautologie !).
Dernièrement, il a manipulé une certaine « presse » pour espérer me traîner dans la boue , moi un digne fils du Baol. Dans l’article en question (« Grosse révélation sur le jet setteur Oumar Sow «ODIS» : Il est dans de sales draps… ») publiée par le site « Sanslimites », il a raconté des salades et des histoires à dormir debout en me peignant sous les traits d’un jet-setteur. C’est vraiment ignorer l’homme que je suis, qui s’enorgueillit d’être un fervent talibé de Cheikh Ahmadou Bamba Khadimou Rassoul que de me coller cette étiquette.
Cheikh Gadiaga, pour votre gouverne, est coutumier des faits. Son nom s’assimile à l’arnaque,
l’escroquerie et au chantage sur de dignes fils du pays comme les Cheikh Amar TSE , Sokhna Momy Kébé, Sokhna Bally Mbacké Mountakha, pour ne citer que ceux-là. Et Dieu sait que sa cupidité lui a valu bon nombre de déboires judiciaires qui l’ont conduit droit en prison. Qu’il sache que, cette fois-ci, cela ne passera pas avec le PDG Oumar Sow (ODIS).
Par le passé , Cheikh Gadiaga, la honte de toutes les populations de Dinguiraye dans le Baol , a toujours voulu me prendre pour sa vache laitière. Pour pouvoir me soutirer d’argent, il m’avait proposé la création d’un site internet à 5 millions de FCFA. Alors qu’il rêvait aller suivre la finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) , il m’avait réclamé aussi l’achat d’un billet d’avion non sans oublier le parrainage d’un évènement qu’il disait vouloir organiser. Récemment, lors du décès de l’homme d’affaires Papa Aly Guèye, il me suppliait de lui donner de l’argent pour qu’il quitte les États-Unis et vienne assister aux funérailles. Voilà autant de chantages qu’il exerçait sur ma personne et que je refusais qui l’irritent, à ce jour, au point de vouloir jeter l’opprobre sur moi. Mais , ce sera peine perdue ! Je ne me céderai jamais à ses chantages.
Je me veux un digne fils du Sénégal qui travaille pour contribuer, à ma manière, au développement de mon cher pays. Aller raconter du n’importe ne me fera pas dévier de mon droit chemin . Confiant en la justice de mon pays, je ne me laisserai plus casser de la laine sur le dos. Ce qui doit se faire se fera pour laver mon honneur. Que ce Cheikh Gadiaga sache que la bave du crapaud n’atteindra jamais la blanche colombe. A bon entendeur, salut !
M. Oumar Sow,
PDG ODIS.GROUP International