Coordonnateur du Comité d’organisation des Jeux olympiques de la jeunesse (COJOJ), Ibrahima Wade, rassure par rapport à la livraison des infrastructures et la participation du Sénégal, dont les 35 fédérations ont déjà dégagé leur programme de préparation. Le vice-président du Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS) a souligné la dimension inclusive et culturelle des JOJ.
Lancement préparation en janvier 2025
« Les infrastructures seront livrées en décembre 2025. Les athlètes pourront participer à des épreuves tests. Les installations ne seront pas ouvertes au grand public car on sera à un an des JOJ. Les fédérations sportives ont un programme de préparation pour leurs athlètes. Il y avait un travail de détection effectué en 2022 par les fédérations. Le Covid est passé par là mais les 35 fédérations ont fait ce qu’il faut. Elles ont remis leurs plans de préparation pour 2025 et 2026. Le plan de préparation sera lancé en janvier 2025. Cela va regrouper 400 à 450 athlètes avant de se refermer sur 150.»
« Les femmes parties intégrantes des JOJ »
« On a tendance à oublier que les JOJ, c’est aussi la culture. Il y aura un concours de mascotte et ce sera lancé dans les prochains jours par le président Mamadou Diagna Ndiaye. On sera dans une alliance entre sport et culture. Les jeunes seront au cœur du processus. 60% des volontaires sont des jeunes. Les femmes aussi font partie intégrante des JOJ. On est dans une démarche inclusive… Dakar En Jeux est une manière de garder le momentum. On a fait une simulation avec une cérémonie d’ouverture. En 2024, nous avons innové avec l’organisation en mode test. On a reçu des pays comme l’Algérie, le Kenya, la Gambie, le Nigeria et le Sénégal. Nous sommes en pleine compétition avec des horaires d’entraînement comme si les JOJ ont débuté. On fera tout pour évaluer l’année prochaine. On va s’ouvrir au monde et ce sera plus intense. »
(jolof.com)