Quelle indignité !
Mensonge après mensonge, elle est inépuisable, la vague qui vous porte, c’est comme le bruit de la pluie sur les pavés.
Après un argumentaire fallacieux sur les recommandations de la Cour des comptes, mes «amis» continuent et ne désespèrent pas.
C’est simple, publiez le numéro du compte et saisissez la banque, vous avez la DIC, l’OFNAC, le Centif,…
Décidément, je suis quand même très fort, même ancien ministre et ancien Coordonnateur national du Prodac, je peux encore manipuler des comptes bancaires … ouverts au titre du Prodac.
Parlant de compte bancaire, voilà ce que je disais à la Cour des comptes : «Durant tout le temps que j’ai été au Prodac, j’ai centralisé toutes les ressources au niveau du compte de dépôt ouvert au Trésor public» (Page 55 du rapport), gage suprême de transparence.