Chassez le naturel, il revient au galop. Cette maxime se mesure à la très petite taille du journal directnews. Loin de nous l’intention de verser dans le préjugé, le jugement valeur ou la raillerie pour tourner en dérision. Il est la sonnerie d’un tocsin destinée à stopper le jeu, amusant certes, mais ho combien dangereux de la manipulation des esprits auquel le journal directnews, encore lui, éprouve un malin plaisir à s’adonner comme un péché originel. Ce, en dépit des multiples appels à la raison et à la retenue d’observateurs avertis et de bonne foi. De quoi s’agit-il?
Dans son édition du mardi 09 avril 2024, le quotidien directnews ne trouve rien de mieux de que de s’acharner, comme à son habitude, sur le Dg Abdoulaye Dièye par la mise en exergue de certains aspects de sa gestion. Ils sont savamment déclinés en points négatifs ainsi résumés : » Les dénonciateurs accusent le Dg de faire 600 recrutements politiques au moment où l’AIBD n’a besoin que de 300 travailleurs.
Il se susure que 176 milliards étaient destinés à la réalisation d’une aérogare à Diass. Où est passée cette manne financière car les aérogares de Kolda et de Ziguinchor sont fermées. Seuls les vols intérieurs sont accueillis à Saint Louis car l’aéroport n’a pas encore de certification »
Rien que la résonance des prétendus maux soulevés et des mots abusés et travestis laissent apparaître une grandissime et gratuite délation. Nous allons le démontrer. Non par des suppositions et autres sous entendus comme directnews a su bien le faire mais bien par des arguments que la pire des foi ne pourrait réfuter.
Peut-on accorder du crédit à un journal dont les propriétaires éprouvent une hostilité suspecte et poisseuse envers le directeur général de l’AIBD au point de le calomnier à 3 reprises par des titres à la une aussi légers que fades?
Pour la gouverne de l’opinion publique sénégalaise qu’on ne saurait manipuler si facilement, il n’est pas superflu de faire remarquer que c’est une dame protégée de l’ex directrice générale de l’Apix qui abuse de la vulnérabilité et des tares d’une certaine presse pour les régenter. La dame en question n’a jamais cessé une seconde de lorgner l’AIBD pour la diriger.
Faute d’avoir pu atteindre son objectif obsessionnel, elle ne cesse de tirer sur tout ce qui bouge. Sa dernière ruse en date est de se transformer en victime du régime de l’Apr qui l’aurait contrainte à concrétiser sa perception mercantiliste et des stations de responsabilité. La caprice qu’elle décide dorénavant d’exprimer à haute et intelligible voix est son appartenance au Pastef à des fins de positionnement. On verra bien d’ici peu si être du parti des nouveaux dirigeants du pays est un terreau fertile pour jouir de sinécures et de prébendes indues.
Peut-on ou doit-on confondre vitesse et précipitation au point de prétendre pouvoir construire une aérogare de 176 milliards sous l’effet d’une baguette magique? Appartient-il plus à un journal subjectif, partisan et alimentaire qu’à un corps de contrôle compétent, en la matière, de faire un audit pour déterminer la nature politicienne des recrutements à l’AIBD? Les réponses à ces questions, loin d’être superfétatoires, sont sans doute trouvées par une bonne partie de l’opinion pour pouvoir juger de façon honnête et minutieuse.
L’imposture manifeste du chiffon directlies (mensonges directs en anglais) qui saute à l’œil nu est la suivante: Le journal mythomane affirme que 176 milliards étaient destinés à l’érection d’une aérogare et à le toupet de de s’interroger, toute honte bue, sur sa destination finale en la transférant à la réalisation des aéroports de Kolda et de Ziguinchor qui tarderaient à voir le jour.
De qui se moque le journal directnews? Doit-on continuer à laisser des aventuriers qui, sous le couvert du journalisme, s’arroge le droit d’insulter, allègrement et avec une désinvolture ahurissante, l’intelligence des sénégalais?
En quoi la responsabilité de la direction générale de l’AIBD est engagée dans la non certification de l’aéroport de Saint Louis?
En vérité, si le ridicule tuait au Sénégal, le journal directnews qui est l’ivraie de la bonne graine journalistique allait sans doute mourir de sa belle mort. La lâcheté dont il fait montre est aussi à chercher dans le titre qui barre la une du journal » Les lanceurs d’alerte démarrent leur travail ».
On aimerait bien croire que ce sont bel et bien les lanceurs d’alerte qui soient à l’origine des inepties qu’il a mises en exergue pour nuire au Dg de l’AIBD que ses tenants espèrent pouvoir atteindre, toutefois l’on est nullement amnésiques et bêtes pour ne pas savoir que ce sont les dirigeants alimentaires du journal qui ont actionné leur imagination fertile pour susciter et alimenter des affabulations grotesques.
Est-il nécessaire de rafraîchir la mémoire des sénégalais: le contenu de l’article sur l’AIBD est le même que ceux qui ont été publiés le 20 juin 2023 et au mois de mars 2024. Du réchauffé à l’état pur découvert par les connaisseurs du goût exquis et digeste des articles de cette presse objective, responsable et affranchie des lobbies et autres groupes de pression et dont le Sénégal se délecte si fièrement..
Non! Directnews à tout faux! L’AIBD n’est pas dans » l’apocalypse now » pour reprendre le titre d’un film célèbre. Il se porte comme un charme contrairement au tableau sombre que des nihilistes encagoulés veulent lui imprimer.
DIRECTNEWS RÉDUIT EN UNE PEAU DE CHAGRIN PAR LES PROUESSES PASSÉES SOUS SILENCE.
la prouesse de l’AIBD, c’est également la certification de l’aéroport international de Cap Skiring qui vient d’être validée par l’ANACIM. Une première dans l’histoire de l’aviation civile en Afrique de l’ouest.
En définitive, il faudrait-il rappeler aux pourfendeurs d’Abdoulaye Dièye tapis dans l’ombre pour ne pas combattre à visage découvert pour cause de lâcheté et l’usage abusif d’armes non conventionnelles que le Dg de l’AIBD a la conscience tranquille; surtout propre, pour se laisser divertir et éclabousser par les manipulations mensongères d’un éminent membre de la racaille de la presse écrite.
Aujourd’hui plus qu’hier, M Dièye qui a toujours été dans le temps de l’action pour le rayonnement de l’AIBD n’a pas à avancer des arguments de bonne foi face à des maîtres chanteurs, calomniateurs-diffamateurs de mauvaise foi. Michael Douglas a vu juste en soutenant qu’il est plus facile de construire des forêts que de réparer des hommes brisés. Ceux de directnews s’entend dans ce cas précis.
Comme dans un passé récent, la énième sortie de directnews contre M Dièye par des incartades réchauffées d’un journal mythomaniaque et affligé au point d’accuser des » lanceurs d’alerte », ne fait que le motiver davantage à tenir intelligemment, sereinement et courageusement la solide et précieuse pierre de sa partition pour la construction nationale. Sa volonté inébranlable de servir sa nation dans son domaine de compétence et de répondre à l’appel de la.patrie transcende la nature des régimes en place et la posture des dirigeants qui le tiennent.
Abdoulaye Gueye. Citoyen sénégalais.