Ousmane Sonko, cette figure qui tâche la politique sénégalaise de son hypocrisie sans pareille, incarne un sombre mélange de religion et de politique. Avec son adhésion aux principes du salafisme, courant ultra-conservateur de l’Islam, il attise des craintes légitimes.
Monsieur Sonko, vous vous targuez d’être un érudit des textes sacrés, mais votre habileté n’est pas dans la connaissance, mais bien dans la manipulation. Votre discours tenu à la veille de la Tabaski, où vous avez osé comparer votre propre histoire à celle des Prophètes, est un exemple flagrant de votre volonté grotesque d’ériger votre image à celle d’un guide spirituel.
Votre pratique salafiste, comme votre refus de vous raser à l’approche de la Tabaski, n’est rien d’autre qu’une démonstration ostentatoire de votre adhésion à une idéologie qui, lorsqu’elle est adoptée aveuglément, met en danger la cohésion de notre pays.
Votre comportement et votre discours suintent une mégalomanie abjecte. Vous vous comparez honteusement à la figure du Prophète. Pourtant, contrairement à ce que vous semblez croire, vous n’êtes pas un prophète. Vous êtes un homme politique, dont la principale mission est de résoudre les problèmes concrets de la population. Cependant, sous votre instigation, des manifestations ont entraîné la mort tragique de 29 jeunes Sénégalais. Un lourd tribut qui ridiculise toute prétention à une quelconque comparaison avec une figure sacrée.
Monsieur Sonko, vous n’incarnez pas l’Islam, mais une forme perverse de salafisme « mort-né ». Votre vision de la religion engendre plus de divisions et de conflits que d’unité et de solidarité au sein de la société sénégalaise. Vous franchissez avec une désinvolture effrayante la ligne qui sépare la foi de la politique.
Votre parcours, Monsieur Sonko, révèle les turpitudes d’un homme prêt à se draper de l’habit du salafisme pour grappiller quelques voix supplémentaires. C’est un avertissement pour nous tous : restons vigilants face à ceux qui sont prêts à manipuler nos convictions pour servir leurs propres intérêts. Le débat politique doit être authentique, reposant sur des idées et des actions réelles, et non sur l’exploitation des sentiments religieux.
Monsieur Sonko, vous êtes un trompeur de la pire espèce, un conspirateur qui, à en juger par vos actions et vos paroles, s’aligne avec des éléments potentiellement dangereux pour notre société. Si le peuple sénégalais ne fait pas attention à ces mascarades, cela pourrait coûter très cher à notre pays.
« Vous savez en âme et conscience que vous êtes l’unique responsable de ces morts et des casses dans le pays (Sonatel, Auchan, Orange, Dakar Dem Dikk, BRT, Banques, Universités…). Vous avez appelé au combat mortel et maintenant, vous vous terrez, attendant qu’on vous verse de l’eau comme un rat pour sortir de votre trou. »
Il est donc impératif, mes concitoyens, de rester vigilants. Ne laissons pas nos convictions être utilisées à des fins politiques. Exigeons un débat politique basé sur des idées et des actions concrètes, à l’image des réalisations du Président Macky Sall. Quel Bilan élogieux! : le Train express régional (TER), le Bus Rapid Transit (BRT), la réhabilitation du chemin de fer, la construction des Universités, l’électrification des villages les plus reculés, la hausse des salaires, l’employabilité des jeunes et la formation des femmes, les Branchements sociaux pour l’accès à l’eau potable, le Programme d’Urgence de Développement Communautaire (PUDC), l’achèvement du Pont de Farafenni pour ne citer que quelques-uns.
Ces réalisations sont le fruit d’un leadership visionnaire et pragmatique, qui sert véritablement le peuple sénégalais. Confrontons nos choix politiques à de tels standards, et non à l’exploitation des sentiments religieux basé sur des mensonges, des calomnies, et la Diabolisation. L’avenir de notre cher Sénégal en dépend.
Ousmane Sonko! Tu restes et demeures un Eternel Criminel doublé d’un corrupteur de la jeunesse.
Mouhamadou Lamine Massaly
Président du Parti Union pour une Nouvelle République (UNR)