On ne suivra pas l’exemple du « camarade » Khadim Samb que l’avocat français Juan Branco veut, à tout prix, traîner à la CPI pour incitation au crime. Non. Nous n’appellerons pas au meurtre, quoi que le Diable, (il diavolo, surnom donné à notre compatriote Adamo en Italie où il compte de nombreuses victimes ), continue d’attiser la honte qui s’abat sur notre pays depuis quelque temps, à cause des turpitudes de certaines de nos femmes délurées ou en quête de célébrité qui, sans scrupules, se délectent de son langage ordurier et ses misérables sorties sur Internet.
Nous nous contenterons simplement de demander sa « neutralisation », quand on nous informe que le gouvernement est en train de livrer bataille contre certains jeunes émigrés senegalais dont notre pays peut volontiers se passer de la nationalité. Adamo qui ne devrait exister que sur le Net, ou les B. D. fait partie.de cette engeance.
Personnage androgyne, mi-homme, mi-demon établi en Allemagne depuis des lustres et ne vivant que de rapines et chantages, Adamo est en train de porter un préjudice sérieux a notre Téranga bien de chez nous, qui fait le lit de notre réputation hospitalière. Depuis le temps qu’il commet ses forfaits depuis l’Allemagne, il a eu le temps de s’enrichir honteusement, et régulièrement sur le dos de pauvres c…nnes innocentes, et désireuses de parader.
Mais au prix de combien de divorces, de vies brisées et de désespoir pour ces victimes de la diaspora et d’ici, dont certaines n’osent plus revenir sur la terre de leurs ancêtres ? Assez de cris d’orfraie, d’indignations saisonnières et de résolutions cycliques. Il faut arrêter Adamo pendant qu’il est encore temps.
Quand on a réussi à rapatrier un Kaliphone sans voir le monde s’effondrer, on peut très bien essayer la manœuvre avec la coopération allemande au moment où l’exploitation de notre gaz fait l’objet de tant de convoitise. Presque un jeu d’enfant.