Baba Ndiaye, Ambassadeur du Coaching Territorial pour l’Afrique prend part au Sommet Urbain de Bruxelles (Brusssels Urban Summet), en Belgique. Cette rencontre est l’occasion de mener la réflexion pour aboutir à des territoires viables, développés:
« Ce sommet est une excellente occasion d’échanges et de rencontres entre ceux qui ont la responsabilité du développement urbain, local. C’est aussi le lieu d’échanges d’expériences entre champions et autres menagers territoriaux avec des innovations vitales, importantes pour le développement de nos territoires « , s’est expliqué le Président sortant du Conseil Départemental de Kaolack.
Et il énumère quelques défis et enjeux du secteur: »Il ya plusieurs défis au niveau de nos territoires d’Afrique, notamment. Pour les relever, on utilise des outils qu’on appelle le Coaching Territorial qui est une méthodologie de travail. Au niveau du Royaume du Maroc et au Sénégal (région de Kaolack), cette méthodologie a donné des résultats probants, excellents dans la prise en charge de préoccupations des populations vulnérables. Cela a permis aussi de trouver solutions avec plus d’efficacité, d’efficience et de transparence. Aujourd’hui, cette méthodologie mérite d’être valorisée, partagée et connue par l’ensemble des élus et cadres qui évoluent dans ce secteur et qui sont présents à Bruxelles pour qu’ils puissent en faire une bonne appréciation ».
Et M. Ndiaye de revenir l’importance de la vulgarisation des acquis : »Nous travaillons avec un partenaire important « Communication ». Il abat un excellent travail et nous appuie au niveau des Cités et Gouvernement d’Elus d’Afrique et qui fait partie du consortium en région de l’Oriental (Maroc) et de l’Agence de Développement Oriental. Ensemble, ils travaillent dans la promotion du Coaching Territorial. Je dois dire que pour le cas de Kaolack (Sénégal), 2500 emplois ont été consolidés dans la filière de l’exploitation du sel, 4000 femmes pour la transformation des produits agricoles, 1500 femmes dans le sous-secteur de l’aviculture et avec l’Organisation internationale des migrants, on a mis en place un fonds départemental d’investissement pour les émigrés. L’objectif global est de permettre un développement digne de ce nom avec un important pouvoir d’achat de nos populations ».