Les propos du président tunisien ont provoqué une tôlée chez les noirs. Beaucoup de chefs d’Etats pour condamner ses propos jugés racistes. Dans un communiqué publié en arabe, la présidence tunisienne a fait un pas en arrière. Elle refuse d’être un Etat raciste. « La Tunisie exprime son étonnement face à cette campagne bien connue liée au prétendu racisme en Tunisie, rejette cette accusation de l’état de Tunisie, l’un des fondateurs de l’Organisation de l’unité africaine qui s’est convertie plus tard à l’Union Africaine, qui a soutenu tous les mouvements de libération nationale dans le monde, non le mouvement de libération nationale le moins en Afrique.
La Tunisie est un pays africain avec distinction et c’est un honneur pour nous, les africains sont nos frères et la Tunisie avait appelé ces dernières années que l’Afrique soit pour les africains et a repoussé de tous les moyens le crime de traite des êtres humains subit par nos frères africains donc loin et l’état tunisien n’a pas accepté et n’acceptera pas que les africains soient victimes de ce phénomène honteux, ni en Tunisie ni en dehors.
La Tunisie restera un État victorieux des opprimés et victorieux pour les victimes de toute forme de discrimination et n’accepte pas qu’il y ait victime d’une quelconque forme de discrimination ni en Tunisie ni nulle part dans le monde visant les êtres humains. La Tunisie se souvient qu’il s’agissait d’une course pour émettre une loi en 2018 visant à éliminer toutes les formes de discrimination et sa manifestation. Sur cette base, le suivi porte sur toute agression physique ou morale contre tout étranger, quel que soit son statut juridique.
L’histoire de la Tunisie, ses lois, et les pratiques de son peuple, qui ont prêté un coup de main à ceux qui lui ont cherché refuge, attestent que nos efforts pour protéger tous les immigrés sont équilibrés par notre détermination à respecter les lois du pays, pour que le chaos ne se propage pas pour éviter tout mal qui touche nos concitoyens ou nos frères africains », renseigne le communiqué