En réaction à la sortie d’un journaliste, réputé sérieux et crédible, qui s’insurgeait contre ce qui apparait comme un péché originel d’une certaine presse qui n’existe que pour déverser des insanités et insultes sur de paisibles citoyens, un journaliste d’un quotidien d’informations qui s’est arrogé un droit de réponse a soutenu qu’une bonne partie de la racaille ( la partie la plus abjecte d’un groupe) est à chercher dans la presse en ligne. Sans entrer dans ce débat plus qu’actuel qui doit donner matière à réflexions et à actions avant que la porte du retour impossible ne soit franchie, il y’a des faits empiriques qui laissent penser qu’il n’a pas tout à fait tort de le dire à haute et intelligible voix.
En effet, dans un article publié par un site d’informations en ligne et ayant comme titre: » Bamboula aux impôts et domaines », il est attribué au directeur général des impôts une gestion gabegique de la Direction Générale des Impôts et Domaines.
De telles contre-vérités provenant d’un site alimentaire dont la ligne éditoriale est régentée par des faucons ne surprennent outre mesure.
En effet, le site dont il s’agit est connu par la majorité des sénégalais qui n’ont que de l’aversion pour sa ligne éditoriale. Elle n’en est pas une, puisque taillée à la mesure des intérêts égoïstes et indus de son directeur de publication. Le site est en tête du livre guiness des records de chantage et de manipulation savamment maquillés et alimentés par des patrons de presse qui font la honte et le déshonneur de la presse sénégalaise par sa flibusterie. Il se distingue du lot des sites d’information qui font la fierté du Sénégal par la pertinence et la crédibilité de leurs informations mais singulièrement par la probité morale de leurs dirigeants. Tout le contraire des journalistes passés maitre dans l’art du dénigrement et de la calomnie par la production d’articles dégueulasses et indigestes.
Le post qu’il a publié ce 01 décembre 2021, qu’un site du même acabit a cru devoir reprendre, souffre d’une subjectivité, d’une lâcheté et d’une légèreté qui lui impriment une indécence épouvantable. Et pour cause.
Insinuer que M Bassirou Samba s’est attribué un appartement de 600 millions et des meubles d’un coût de 432 relève d’une fumisterie ahurissante et dangereuse. Il est le couronnement abominable d’un acharnement organisé que d’une volonté d’informer juste et vrai. Satan ne dit jamais la vérité mais il a cette capacité inouïe de semer le doute et la confusion dans les esprits. Il n’est nullement besoin d’être un journaliste pour savoir que dans le cas d’espèce la personne citée a droit au chapitre pour répondre à ses accusateurs. La bonne foi et l’objectivité dictées par l’éthique et la déontologie qui régissent la profession exigent que celui qu’on accuse puisse jouer d’un droit de réponse.
Non! Ce serait une erreur gravissime que Bassirou Samba Niasse soit confiné dans un débat de caniveau. La postérité, l’Etat, l’Ena et la Direction Générale des Impôts et Domaines et les hommes de valeur épris de sa personne ne lui pardonneraient jamais d’avoir, lui-même, à avancer des arguments de bonne foi face à des gens de mauvaise foi. A verser dans un débat de caniveau indigne de son rang et de ses valeurs intrinsèques. Les plus irréductibles détracteurs honnêtes de B. S Niasse nichés à la Direction Générale des Impôts et Domaines reconnaissent qu’il est imbu des valeurs de rigueur, de piété, de sobriété, de sérieux qui en font le modèle achevé d’une élite sénégalaise valeureuse capable de nous faire rêver. La matière fiscale dans son entièreté , n’a pas de secret pour lui. Nous affirmons avec force qu’il fait partie des meilleurs pour ne pas dire le meilleur d’entre nous à tous points de vue.
A l’heure où les populations attendent de la presse qu’elle s’inscrive dans une démarche pédagogique de les éclairer sur des questions d’intérêt général, des obscurantistes tarés incapables d’émettre des idées ont cru devoir combler par le mensonge la déprime qui les ronge.
Doit-on s’alarmer, outre mesure, car comme le dit l’adage avec un mensonge on va loin mais sans aucun espoir de retour.
Avec le recul et seul dans son coin, l’auteur de l’article, de la diatribe devrait t-on dire, est certainement loin de se complaire dans son extase dégradante par l’accomplissement d’une sale besogne. Bien au contraire, affligé par la commission de son acte ignominieux d’avoir desservi et déshonoré la presse dans sa dimension la plus noble et la plus sacrée, il est prisonnier de sa propre conscience. D’où il ne sortira que pour être jugé par le tribunal de l’histoire.
Il décrète que la volonté de nuire et l’acharnement immonde sur le discret, l’efficace, le compétent et l’efficient Bassirou Samba Niasse est perceptible par la chute de l’article qui renseigne sur son dessein ignoble de vouloir à tout prix le clouer au pilori : « A suivre demain sur L’éral ». La question qui s’impose dès lors est de savoir pourquoi au Sénégal une règle affligeante à laquelle s’accommodent des organes de presse du même acabit veut que l’on exalte les antis modèles et les contre-exemples au moment où les compétents et les vertueux sont jetés en pâture. La vérité de la formule de conclusion de l’article se trouve beaucoup plus dans ce qu’il tait que dans ce qu’il dit. Son auteur abruti ouvre une marge de manœuvre au Directeur général qu’il pourfend au cas où il serait tenté de le caresser dans le sens du poil pour ne plus être la cible de ses invectives. Entreprise abjecte vouée à l’échec. Le chantage déguisé, la surenchère et la manipulation subtile des esprits n’ont jamais prospéré avec M Niasse. Ce n’est aujourd’hui ni demain qu’il abdiquera face à des contempteurs vils et qui en termes de compétence, de valeurs et d’engagement patriotique ne lui arrivent pas à la pointe des pieds. A la vue des insanités déversées sur cette fierté nationale qu’est BSN, nous nous sommes interrogé: Pourquoi un tel degré d’acharnement et d’animosité contre cet excellentissime Énarque qui a fini d’imprimer à la DGID une touche innovante dont les fruits vont bientôt éclore avec le programme YAATAL.
En cherchant la réponse notre propre questionnement, nous trouvons dans les propos d’un Penseur qui disait que les africains ont un problème réel avec la réussite.
Quand les honneurs s’accumulent, les animosités s’intensifient. BSN aura beau marcher dans la mer pour menager ses pourfendeurs éternels, ils diront qu’il soulève de la poussière. Tout compte fait, son ascension fulgurante ne fait que commencer. Elle va susciter encore de la haine et de la rancoeur mais elle est irréversible. N’en déplaise à ceux qui lorgnent son fauteuil. La perception qu’il a de sa mission sacerdotale et patriotique l »affranchit de l’ambition de s’y arc-bouter ou de se bousculer comme des idiots.
L’Article commandité dans le cadre d’une entreprise de dénigrement lâche et éhontée a au moins l’avantage de conforter cette pensée veut que: « Tout Homme qui travaille, qui fait quelque chose, a forcément contre lui ceux qui aimeraient être à sa place pour faire exactement comme lui, ceux qui voudraient faire le contraire la grande armée de gens qui ne font rien ». Dans ce cas précis, il ne fait pas de doute que les attaques sont l’œuvre de faucons encagoulés ayant une obsession maladive voire mortelle pour le poste qu’il occupe et une bande d’imposteurs qui se réfugient sous le manteau de journalistes pour le déstabiliser.