La grande initiatrice du Codas (Comité de soutien à Adji Sarr), n’est pas du tout contente. Depuis les Usa où elle s’est établie, elle se dit trahie, et crie sa déception sur tous les toits du monde.
Apres avoir soulevé des montagnes pour crédibiliser un tant soit peu les propos de celle qui se dit violée et victime (par procuration?) du leader du Pastef, elle affirme n’avoir pas été payée en retour. Et ainsi, commence à se démarquer de ceux qui l’ont séparée de sa « fille adoptive ». Mieux (ou pire), elle les avertit vivement, en leur demandant de ne plus compter sur ses services la prochaine fois.
Quelle prochaine fois? Quand il s’agira de « défendre » encore les intérêts de l’Etat et des décideurs. Mais…diable ! De quoi parle-t-elle exactement, et de quels intérêts s’agit-il ? Qui sont ceux qu’elle indexe dans ses menaces ? Pas encore de réponses claires à ces questions. Françoise ne s’est pas longuement épanchée là-dessus, mais certainement qu’elle le fera bientôt, pour éclairer notre lanterne, en attendant l’hypothétique procès qui fait déjà tant saliver la presse.
Tout ce qu’elle consent à préciser, c’est qu’au moment où il s’agissait de se battre et que personne ne voulait de la patate chaude, elle a été pratiquement la seule (avec son équipe), à s’investir. Pour récolter quoi ? Rien que des nèfles en fin de mission et à ses dires…
Ainsi, pour tous ces services rendus sans contrepartie, elle leur demande désormais d’aller voir ailleurs, de ne plus compter sur elle dans le futur, tout en renouvelant, dit-elle, un amour intact pour sa fille chérie devenue elle aussi très bavarde un certain temps, comme si elle voyait se lever un veto.