Le Sénégal fait partie des rares pays qui affichent leur position sur l’homosexualité. Les gays, lesbiennes et bisexuels sont « traqués » par les populations qui sont contre ses pratiques qui vont à l’encontre de leur religion, de leurs valeurs culturelles, de leurs us et coutumes. Traqués par des lanceurs d’alerte, des activistes et des ONG locales, les homos multiplient leurs stratégies de résistance mais aussi de conquête.
Avec l’avènement des nouvelles technologies de l’information et de la communication, les homos ont trouvé une manière de mener leurs activités dans l’ombre. Leurs penchants sexuels, ils les affichent désormais sur certains réseaux sociaux avec la complicité d’hommes d’affaires, artistes…qui les aident à véhiculer leur message. Ils draguent sur la toile et cela avec la manière…Le danger plane dans le monde virtuel et la jeunesse est menacée.
La jeunesse est en danger ! Au Sénégal presque tous les jeunes sont dotés de téléphones pouvant surfer sur internet. Le contrôle parental a ses limites dans le domaine de la téléphonie mobile. Sur ses appareils sophistiqués, verrouillés par leurs propriétaires, les enfants peuvent s’aventurer partout sans que la curiosité des parents puissent y pénétrer. Ce monde est désormais le lieu de chasse des homo, lesbiennes, bisexuels et transgenres qui recherchent des partenaires.
En effet, la communauté LGBT a changé ses pratiques. Désormais ils ont investi en masse les réseaux sociaux où ne s’appliquent pas certaines lois et contrôles. Ils sont sur les différentes plateformes de réseau social. Et avec un réseau social qui leur est propre ils peuvent faire passer leur message en toute sécurité. Ils utilisent ses nouveaux outils pour se fixer des rendez-vous ou appâter des proies qu’ils pourront pervertir et intégrer dans leur milieu.
« J’ai rencontré une fille sur un réseau social très utilisé. On est devenu des amies. Mais au fil du temps elle a commencé à montrer sa véritable nature. Elle a commencé à me draguer. Au début c’était juste des autocollants. Mais plus les jours passaient et plus je me rendais compte de ses intentions. Lorsque j’ai découvert qui elle était véritablement, j’ai coupé les ponts. Elles sont partout et se cache derrière des visages de ‘’saintes’’ », nous narre une jeune étudiante qui a préféré garder l’anonymat.
Et ce cas n’est pas isolé. Pas plus tard que lundi passé, la presse du jour faisait échos d’un homosexuel piégé et tabassé lors d’un rendez-vous avec son « copain ». Ces hommes et femmes ont réussi à former une communauté forte à travers le monde. Ils ont même réussi à faire plier les plus grands réseaux sociaux dans leur combat pour leur émancipation. Même si au Sénégal ils n’osent pas se manifester de manière claire, ils sont bien présents sur ces plateformes. Et leur présence est un véritable danger pour les jeunes qui fréquentent ces réseaux.
Mais au Sénégal, une véritable chasse a été ouverte contre les homosexuels. Ils sont désormais traqués jusqu’à leurs derniers retranchements par une population déterminée à mettre fin à cette abomination. L’ONG Jamra et les familles religieuses qui portent ce combat multiplient leurs actions en vue d’éradiquer définitivement le phénomène. Plaintes, campagnes de sensibilisation, marches de protestations, Mame Makhtar Gueye et Cie utilisent tous les moyens légaux pour freiner la progression de ce nouveau fléau qui est désormais dans nos smartphones et autres moyens de communication.
Le combat contre l’homosexualité est loin d’être gagné au Sénégal. Mame Makhtar Gueye et Cie auront du mal à contenir toute la communauté LGBT présente sur WhatsApp, Facebook, Tik Tok et autres réseaux sociaux. Les parents doivent redoubler de prudence pour éviter que leurs enfants ne tombent dans la débauche.