Ce lundi 3 mai où la presse sénégalaise s’est encore réunie à l’occasion de la journée internationale de la presse, marque un grand tournant dans cette sphère, qui aujourd’hui rencontre d’énormes difficultés. La démocratie, la liberté d’expression, les bonnes conditions de vie des journalistes entre autres sujets, interpellent certes les acteurs de la presse, mais nous interpellent nous politiques, nous citoyens sénégalais d’autres plus que nous travaillons en synergie.
Aujourd’hui, les conditions de vie des journalistes est à regretter du fait d’être précaires et parfois inimaginables. Les journalistes qui jouent un rôle très important dans la société, doivent être choyés, d’être mis dans de très bonnes conditions pour faciliter l’application de leur exercice qui parfois demeure complexe.
Les jeunes journalistes surtout, méritent beaucoup de considération de la part de leurs patrons qui usent de leurs pouvoirs décisionnels pour piller l’énergie, l’intelligence de ces innocents pour après les laisser partir bredouilles. Il faut que cette situation cesse, surtout dans ce contexte où on parle davantage du respect du code du travail entre autres.
En effet, ils sont nombreux les jeunes qui suivent respectivement des études en journalisme et en communication, et ces derniers devraient être très bien orientés une fois dans les rédactions pour faciliter l’éclosion de leur talent. À cela également s’ajoute une redynamisation du secteur des médias qui devrait un secteur assez important pour le développement d’un pays.
Abdou Khadre Diokhané l’Officiel