« Là où il n’y a pas de vision, les peuples périssent »( La Bible)
On peut aisément faire le bilan de cet homme, je veux dire, Mr le Président Macky Sall, et avec des statistiques à la clé. Cependant j’ai pris l’option de parler de l’impact social de ses réalisations, et particulièrement des effets positifs de sa Vision sur les inégalités sociales qui se réduisent inexorablement et alimentent sa lutte pour l’équité territoriale.
Aujourd’hui, nul n’ignore qu’il existait au Sénégal des zones dont les habitants ne connaissaient pas la commodité d’avoir un accès facile à l’eau, à l’électricité, aux infrastructures sanitaires, routières, entre autres, etc. Mais dès son acession à la souveraineté nationale, le Président Macky Sall s’est immédiatement attelé à mettre en œuvre sa politique de réduction drastique des inégalités sociales.
C’est dans cette dynamique qu’il a lancé successivement la CMU, les Bourses de sécurité familiale, le PUDC, le PUMA, Promovilles, pour ne citer que ces programmes qui ont considérablement amélioré les conditions de vie socioéconomique de nos concitoyens, partout au Sénégal.
Ainsi de Ndangalma à Diarerre, en passant au Ndande Mayo, du Palaos, au Ndinfely on note une évolution notoire des conditions de vie mais surtout un égal accès aux soins primaires de base.
« Un Sénégal de tous, un Sénégal pour tous » n’est pas qu’un simple slogan destiné aux moments intenses de la compétition politique qui caractérise la vitalité de notre démocratie.
C’est le condensé de l’esprit et de la lettre du «Yonu Yokkuté » (Le chemin du véritable développement) qui inspira dans tous les domaines l’unique document de référence en matière de développement économique et social qu’est le Plan Sénégal Émergent (PSE) lancé, dès février 2014, pour donner une véritable cohérence à tous les projets et programmes que j’ai cités plus haut.
Le choix stratégique de mettre le focus sur le Capital humain, dans le PSE, explique l’accès de très importantes cohortes de jeunes (garçons et filles) au réseau d’établissements scolaires et universitaires qui ont considérablement transformé le paysage académique du Sénégal. N’oublions pas surtout les efforts consentis dans le domaine crucial de la formation professionnelle pour la qualification, l’insertion et l’emploi qui ont constitué, pour l’essentiel, les thèmes forts du Conseil présidentiel du 22 avril dernier qu’il a exclusivement dédié à la jeunesse de notre pays.
En outre, l’égal accès à un service public modernisé, grâce au numérique, est un acquis majeur à mettre à son actif. En outre, c’est l’un des fondamentaux et principes forts de l’état de Droit.
À cela s’ajoutent les établissements collectifs dans le domaine de la santé et l’accessibilité accrue des couches vulnérables aux soins qui n’aurait pas été possible sans les mutuelles de santé grâce auxquelles les oubliés de l’assurance maladie enrôlent des familles entières, bénéficiant ainsi de la contribution substantielle de l’Etat dans le règlement des frais de prise en charge médicale.
Si le leadership, selon Warren Bennis, est la capacité à faire d’une vision une réalité, il ne souffre d’aucun doute que le leadership transformationnel du président Macky Sall est un précédent dont il faut cerner en profondeur les chantiers et les réalisations, pour en dresser un bilan objectif et véridique, tant par la Restauration de la Dignité humaine que par l’adoption d’un système de Gouvernance Inclusif et participatif qui se traduit par une prise en compte des besoins spécifiques de chaque Sénégalais quelque soit son Lieu d’habitation.
Si un grand leader se distingue par l’ambition, la vision, le cap et les résultats colossaux engrangés en moins de dix ans, le président Macky en est incontestablement UN.
À l’heure du bilan, il fera à nouveau sensation en dépit des procès d’intention.
Wait and see !
Diéguy Diop
Militante de l’APR
Membre de la CCR