Cette dame qui se prétend journaliste est d’une étonnante vulgarité.
Elle fait honte à la profession, elle fait honte aux femmes !
Il est manifeste qu’elle met autant mal à l’aise ses collègues avec qui elle partage les rares plateaux télévisés où elle apparaît encore, que leurs invités. Elle ne sait pas se tenir ni ne sait ni parler ni même articuler parce que la méchanceté ne lui en laisse pas le temps.
Elle est pressée de faire mal, elle est pressée de dire du mal, elle ennuie et indispose son monde par ses caquètements ;
Son manque d’humilité l’empêche de se rendre compte qu’elle ne vaut rien professionnellement, un vrai gâchis.
Est-ce être journaliste professionnelle et reconnue par ses pairs, que de participer, je dis bien participer, et non animer, une fois par semaine à une chronique matinale, vulgairement fagotée, cernée de partout, avec un physique si ingrat, pour insulter à tout va ?
En quoi Aïssatou Diop Fall est-elle différente d’un Assane Diouf ?
Où se trouve le débat d’idées, où se trouvent l’élégance dans le discours, la classe dans le port mais aussi dans la tenue ?
A quel moment de sa carrière pense-t-elle avoir acquis un passeport, passeport professionnel j’entends, pas diplomatique (comme celui que lui avait octroyé son mentor exilé à Doha pour le compte de qui elle travaille en utilisant les mêmes méthodes lâches) pour pouvoir noter les personnalités de ce pays ?
Quelle prétention !
Elle s’est attaquée à la Première Dame, Marème Faye Sall qu’elle semble haïr rageusement, avec des propos qu’aucune rédaction qui se respecte n’aurait accepté de laisser diffuser.
Normal diriez-vous, cette dernière incarne tout ce qu’elle n’est pas, car force est de reconnaître que la Première Dame, allie classe et élégance, humilité et générosité. Elle aide, assiste, prend en charge, du mieux qu’elle peut, et ce, dans une totale discrétion.
Pour cette raison, ce sujet psychiatrique lui consacre une chronique tout entière pour aligner des diatribes toutes aussi bêtes que méchantes, mais bien au niveau de celle qui les débite.
Elle s’est aussi attaquée à Ousmane Sonko, lui déniant la qualité de leader !
C’est affligeant de constater qu’elle ne se rend même pas compte qu’elle n’a point la capacité de juger ou même jauger les compétences d’un Sonko ;
Sa dernière cible en date, avant celle de la semaine prochaine certainement, a été le Ministre de l’intérieur, Antoine Félix Diome, celui-là même, qui peut au moins se targuer d’avoir la reconnaissance de ses pairs ;
Un Monsieur qui lors de sa nomination, s’est vu complimenté par nombre de personnes pour son sérieux et son intelligence, et chanté aussi largement pour sa compétence et son exquise courtoisie ;
D’ailleurs, comment paraître crédible et non téléguidée lorsque l’on s’autorise à critiquer quelqu’un qui n’a même pas fait cent jours à son poste.
Cette affidée de Karim Wade a la haine à la bouche quand elle évoque le nom du Ministre de l’Intérieur, elle est de ce qui mène, pour le célèbre exilé de Doha, son combat par procuration !
Tout ce qui est excessif est insignifiant….
Du haut de son 1m50, cettedame pense avoir la capacité ou le pouvoir de distribuer des bons ou des mauvais points, à travers des propos à deux balles, dans une rédaction qui se respecte de moins en moins.
Qui ne se souvient pas du passage de cette dame à Walfadjri et de son départ mouvementé de cette maison, trainant Feu Sidy Lamine Niasse dans la fange.
Mais qui ne l’a pas entendu revenir sous les feux des caméras, avec le même affront, nier tout contentieux avec le défunt Sidy Lamine Niasse et verser des larmes de crocodile lors de son décès?
Qui ne se rappelle pas de sa passe d’armes avec l’honorable député Mame Diarra Fam qui l’avait promptement et vertement remise à sa place ?
D’où tient-elle son insolence et ce manque de confiance en soi?
Serait-ce l’expression d’une série de déceptions et de frustrations intimes et personnelles ?
Il n’est pas exagéré de croire que son cas relève de la médecine ;
Parce que l’impertinence peut être un genre journalistique destiné à soutirer des informations inédites aux personnes invitées sur un plateau mais il faut avoir un sacré talent pour prétendre en user.
Et ce talent, elle ne l’a pas ;
Alors de grâce, chère Madame, faites preuve d’humilité, de politesse et de courtoisie pour dissimuler votre impéritie.
Assurément, le prix Albert Londres vous ne l’offrirez jamais au Sénégal et c’est triste !!
Adramé NDIAYE
Médina Rue 15 angle 11
Dakar