L’information a été livrée par le Secrétaire général du Parti S2D, M. Souleymane NDIAYE, sur sa page professionnelle visitée par la rédaction de DirectActu.Il a fait savoir à l’opinion publique qu’il a activement participé à la Conférence « Démocratie en Afrique II », tenue ce vendredi 14 juin 2024 au Palais du Luxembourg à Paris.
Accompagné du Directeur de la Cellule des Cadres, M. Issa DIOUF, et du Directeur de la Commission Juridique, M. Victor Agnabo Bassene, M. NDIAYE a rejoint un nombre significatif de partis politiques, de chefs d’État, de gouvernements et de leaders politiques éminents, tous réunis dans un effort commun pour défendre la démocratie, les droits humains, les libertés fondamentales, la paix et le développement en Afrique.
La Conférence a été marquée par l’adoption de la « Déclaration de Paris », un document historique qui souligne l’urgence de consolider les institutions démocratiques en Afrique face à des défis politiques et socio-économiques croissants. Parmi ces défis figurent le terrorisme, la fraude électorale, l’inefficacité gouvernementale, la corruption et d’autres formes d’autocratie qui menacent la stabilité et le progrès sur le continent.
M. NDIAYE a participé activement aux discussions sur des questions essentielles telles que la transparence démocratique, l’égalité des genres, l’accès à l’éducation, et la marginalisation des minorités, cherchant à promouvoir des réponses concrètes et des actions visant à renforcer la démocratie et les droits de l’homme en Afrique.
En tant que membre engagé de l’International Démocratique Centriste (IDC.Africa), le Parti S2D et ses représentants ont rejoint d’autres acteurs politiques pour renforcer leur engagement envers la consolidation démocratique et le respect de l’État de droit sur le continent. Cette participation témoigne de l’engagement continu du Parti S2D à promouvoir la bonne gouvernance et le développement durable en Afrique, en collaboration avec des partenaires nationaux et internationaux.
La « Déclaration de Paris » rappelle avec force que seule la démocratie peut sauver l’Afrique et ses habitants, en favorisant un environnement où les libertés individuelles sont respectées et où chaque voix compte dans la construction d’un avenir commun de paix et de prospérité.