En période de Tabaski, les chefs de ménage sont asphyxiés par la dure réalité du marché. Alors que les vendeurs se frottent les mains en profitant à fond de cette période. C’est leur traite. Il s’agit de vendeurs de moutons, de cordes,…
Au Stade Léopold Senghor, où est improvisé à la veille de chaque Tabaski un foirail géant, c’est l’effervescence à quelques heures de la fête.
Partout à Dakar, les vendeurs informels occupent les trottoirs : ils exposent des sandales, sous-vêtements, tee-shirts, jeans,… En dépit de la flambée des prix, toutes les rues commerçantes de Dakar sont prises d’assaut par des clients, qui veulent être à la fête. A travers ce reportage photos, Le Quotidien vous plonge au cœur des préparatifs de la Tabaski.