Le bureau Afrique de Merck va accélérer la transformation des activités de l’entreprise en Afrique pour garantir leur durabilité et générer de la valeur à long terme.
Merck, acteur majeur dans le domaine des sciences et des technologies, a annoncé aujourd’hui sa volonté de poursuivre son engagement en Afrique en élargissant stratégiquement ses programmes d’accès et de sensibilisation, et en renforcement les systèmes de santé et le soutien des patients dans les pays à revenu faible ou intermédiaires du continent.
Dans le cadre de cet événement de trois jours, les parties prenantes venues de toute l’Afrique se réunissent pour écouter des leaders et des experts internationaux en matière de soins de santé, et pour échanger et partager des connaissances et des expériences avec 20 000 participants originaires de plus de 55 pays. Les principaux objectifs de l’Africa Health ExCon sont de recentrer le potentiel d’investissement sur l’Afrique, de garantir un accès équitable aux technologies médicales, d’assurer la prospérité des entreprises du secteur de la santé et des industries pharmaceutiques, et de favoriser l’innovation et la création de valeur dans le domaine de la santé en Afrique.
« Nous aspirons à devenir l’un des principaux partenaires de santé en Afrique subsaharienne et à travailler avec les ONG et les gouvernements pour y construire et renforcer des systèmes de santé durables », a déclaré le Dr Karim Bendhaou, Directeur du bureau Afrique de Merck. « Celui-ci s’est donné pour mission d’accélérer la transformation de nos opérations en Afrique de manière à favoriser des activités durables et de créer de la valeur à long terme tout en cherchant à équilibrer les aspects environnementaux, sociaux et de gouvernance. En nous appuyant sur les quatre piliers du modèle PPP, nous collaborons étroitement avec nos parties prenantes à la mise en œuvre de divers programmes visant à lutter contre la contrefaçon de médicaments, à promouvoir l’investissement dans le transfert de technologies, le soutien de la durabilité et de la localisation de la chaîne d’approvisionnement et la réduction de la fragmentation du marché. »
Pendant le forum ExCon, Merck a présenté ses plans pour étendre sa présence en Afrique grâce à un programme en quatre volets : sensibilisation, diagnostic, formation des professionnels de la santé et accès aux traitements. Outre l’amélioration des initiatives en cours, l’entreprise a annoncé son tout nouveau programme de sensibilisation à la thyroïde et le lancement du programme Africa Cancer Care.
« Nous sommes fermement déterminés à accroître l’accès aux médicaments innovants dans l’ensemble de l’Afrique et à mener sur le terrain des campagnes de sensibilisation des populations mal desservies dans les pays africains à revenu faible et intermédiaire, grâce à nos investissements et à nos innovations en science et en technologie, en collaboration avec nos partenaires externes », a déclaré Ramsey Morad, vice-président régional, Directeur Moyen-Orient, Afrique, Turquie et Russie/CEI chez Merck Healthcare. « Au-delà du développement de nouveaux traitements, nous devons combler les lacunes en matière de sensibilisation, d’accessibilité, de coût et de disponibilité des traitements. »
Merck poursuit également sa lutte contre la schistosomiase, une maladie tropicale négligée (MTN), en vue d’éliminer ce fardeau qui pèse sur la santé publique. En partenariat avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), nous fournissons jusqu’à 250 millions de comprimés de praziquantel par an pour traiter principalement les enfants en âge scolaire en Afrique subsaharienne (ASS). Depuis 2007, Merck a fait don de plus de 1,5 milliard de ces comprimés pour le traitement de plus de 600 millions d’enfants en âge scolaire dans 47 pays d’ASS. Dans sa lutte contre la schistosomiase, Merck a adopté une approche intégrée qui, outre les médicaments, inclut la formation à la santé ainsi que des initiatives en matière de ressources hydriques, d’assainissement et d’hygiène (initiative WASH). Nous menons également des recherches sur de nouveaux médicaments et diagnostics et nous développons, avec un consortium de partenaires, une nouvelle option potentielle de traitement pédiatrique pour les enfants jusqu’à 6 ans.
Depuis 2015, Merck est également très actif dans la lutte contre le paludisme à travers une approche holistique de prévention, de contrôle et d’élimination de la maladie. Cette approche inclut par exemple notre programme M5717 de développement de médicaments, ainsi que la création dans plus de 10 pays du réseau panafricain Vivax et Ovale (PAVON), ce qui a conduit à d’importants changements de politique en matière de paludisme au Botswana.
Merck saisit également l’occasion que lui fournit l’ExCon pour consolider sa coopération existante avec les entreprises pharmaceutiques et les instances africaines de régulation de la qualité des médicaments et pour mettre en avant des projets stratégiques pour l’Afrique, comme l’initiative Merck Life Science qui met notre expertise à la disposition de divers pays et instituts de recherche africains pour permettre la fabrication locale de vaccins et de thérapies médicamenteuses biologiques indispensables aux pays africains. « L’objectif de Merck consiste également à soutenir le renforcement des capacités africaines de fabrication et de développement de médicaments biologiques », a déclaré Youssef Gaabouri, responsable des ventes Moyen-Orient et Afrique chez Merck Life Science Bio Processing. Merck collabore également avec les agences de réglementation en partageant ses connaissances sur l’utilisation de produits de qualité à des fins d’audit.
Conformément à l’engagement de Merck en faveur d’un accès durable aux traitements et thérapies dans les pays à revenu faible et intermédiaire, nous mettons en œuvre et améliorons les programmes d’accès aux soins de santé en nous appuyant sur nos initiatives de valeur partagée, nos partenariats mondiaux en matière de santé et notre stratégie d’accès aux médicaments.