
Alors que certaines voix, semble-t-il, tentent de remettre en question le maintien de Madame le Ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, Dr Fatou Diouf, à la tête de son département, sur le terrain et chez les acteurs du secteur, c’est la confiance renouvelée qui prédomine. À travers syndicats et organisations professionnelles, nombreux sont ceux qui ont tenu à exprimer leur soutien à leur ministre de tutelle.
Le Syndicat des Travailleurs de la Pêche et de l’Aquaculture du Sénégal (SYTRAPAS) a publié un communiqué qualifiant ces critiques d’« inconcevables, injustifiées et incompréhensibles ». Selon le syndicat, Dr Fatou Diouf n’a fait que rappeler la législation en vigueur, notamment l’article 66 du Code de la pêche, qui interdit l’usage des filets en monofilament en nylon, connus pour leur impact dévastateur sur les écosystèmes marins. Cette interdiction, adoptée en 1998 et révisée en 2015, repose sur un consensus établi entre l’État et les parties prenantes du secteur.
Les pêcheurs de Kayar ne sont pas en reste. Car, selon eux, non seulement l’utilisation de ce type de filets est interdite par la loi — ce que Madame le Ministre Dr Fatou Diouf a rappelé avec fermeté — mais ils demandent surtout une application stricte de cette disposition. Ils soulignent que la présence de ces filets a déjà été source de tensions et de conflits dans leur zone, allant parfois jusqu’à des affrontements violents. Ils appellent ainsi Madame le Ministre à faire respecter la loi dans toute sa rigueur.
Il est à rappeler que Madame le Ministre Dr Fatou Diouf, tout en insistant sur l’illégalité de ces pratiques, a tendu la main à l’ensemble des acteurs pour engager une concertation inclusive en vue d’une application responsable et durable de la loi.
Pour Mamadou Mbaye, président du collège des ligneurs, la décision de Dr Fatou Diouf est non seulement légitime, mais nécessaire. Il estime que l’usage de ces filets doit être combattu aussi fermement que le trafic de drogue, en raison de leur nocivité. Une position également partagée à Mbour, où les pêcheurs, par la voix de Mbaye Ndiaye, expriment leur soulagement : « Ces filets ont gâché notre travail depuis plus de 50 ans. Grâce à cette politique portée par Madame le Ministre Dr Fatou Diouf, nous voyons enfin une volonté claire de rupture. »
- Le ministre Fatou Diouf défendue par les professionnels de la pêche face à des critiques jugées injustifiées
Des tentatives de remise en cause de l’action de Madame le Ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, Dr Fatou Diouf, ont récemment émergé à travers certains articles de presse. En réaction, sur le terrain et chez les professionnels de la pêche, les soutiens se sont rapidement exprimés pour défendre la ministre, dont ils saluent la rigueur, la méthode et l’engagement en faveur d’une gestion durable des ressources maritimes.
Le SYTRAPAS, dans une déclaration publique, réfute catégoriquement les critiques portées contre Dr Fatou Diouf lors de son intervention à l’Assemblée nationale le 14 avril 2025. L’organisation syndicale rappelle que l’interdiction des filets monofilaments s’appuie sur le Code de la pêche, notamment l’article 66, qui interdit les engins non biodégradables aux effets dévastateurs sur les écosystèmes marins. Une mesure issue d’un cadre réglementaire clair, adopté avec l’accord de tous les acteurs.
Les pêcheurs de Kayar ne sont pas en reste. Pour eux, ces filets sont non seulement interdits par la loi — ce que Madame le Ministre Dr Fatou Diouf a clairement rappelé — mais ils ont été à l’origine de conflits récurrents dans leur zone. Certains affrontements ont parfois mis en danger la stabilité de leur activité. Ils demandent avec insistance que l’application de la loi soit ferme et sans équivoque.
Il est à rappeler que Dr Fatou Diouf, tout en maintenant une ligne de fermeté, a également lancé un appel à la concertation avec l’ensemble des parties prenantes. Cette main tendue traduit la volonté de construire une application apaisée mais rigoureuse de la législation en vigueur.
Le président du collège des ligneurs, Mamadou Mbaye, soutient pleinement la démarche de Madame le Ministre Dr Fatou Diouf. Il compare l’usage de ces filets à un fléau criminel, et affirme que leur élimination est salutaire pour l’ensemble du secteur. À Mbour, les pêcheurs expriment une même adhésion aux décisions du ministère : « Grâce à cette volonté politique portée par Dr Fatou Diouf, nos souffrances pourront enfin appartenir au passé », a déclaré Mbaye Ndiaye.
- Filets interdits, subventions : les syndicats de la pêche soutiennent la rigueur de Dr Fatou Diouf
Dans un climat marqué par des critiques diffuses sur la gestion du ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, les acteurs du secteur et les professionnels sur le terrain rejettent catégoriquement ce qu’ils considèrent comme des tentatives injustifiées de fragilisation de Madame le Ministre Dr Fatou Diouf. Syndicats, ligneurs et pêcheurs artisanaux saluent unanimement l’application des textes réglementaires et l’engagement de la ministre pour un secteur plus responsable.
Au cœur de cette polémique : l’intervention de Dr Fatou Diouf le 14 avril 2025 lors de la séance de questions d’actualité à l’Assemblée nationale. Elle y a réaffirmé l’interdiction des filets en monofilament, conformément à l’article 66 du Code de la pêche, adopté en 1998 et révisé en 2015. Cette mesure, fruit d’un consensus entre l’État et les parties prenantes, vise à freiner la dégradation des écosystèmes marins et à préserver les ressources halieutiques.
Les pêcheurs de Kayar expriment eux aussi leur plein soutien à Madame le Ministre Fatou Diouf. Ils rappellent que ces filets interdits ont été à l’origine de tensions graves et de heurts entre acteurs dans leur localité. Pour eux, l’application stricte de la loi est indispensable au rétablissement de la paix et de la régulation du secteur. Ils saluent ainsi la fermeté du ministère et appellent à poursuivre cette dynamique.
Il est également à noter que Dr Fatou Diouf, tout en réaffirmant l’illégalité de ces filets, a lancé un appel inclusif au dialogue avec l’ensemble des parties prenantes, dans un esprit de concertation et de co-construction de solutions durables pour le secteur.
Du président du collège des ligneurs Mamadou Mbaye aux pêcheurs de Mbour, les soutiens sont clairs : Dr Fatou Diouf agit dans l’intérêt général. « Il faut traiter l’utilisation de ces filets comme un danger majeur », affirme Mamadou Mbaye. « À Mbour, nous sommes parfaitement en phase avec cette décision de rupture défendue par Madame le Ministre Fatou Diouf », ajoute Mbaye Ndiaye. Pour eux, cette orientation marque un tournant responsable pour l’avenir de la pêche au Sénégal.