
Il est des destins qui s’écrivent dans l’adversité. Des parcours qui se forgent dans l’épreuve.
Des trajectoires que rien, ni personne, ne peut détourner de leur essence. Ousmane Sonko est de cette trempe d’hommes.
L’homme que certains ont voulu briser en 2016 par une radiation infamante, pensant l’éteindre, a transformé l’injustice en tremplin. Ce jour-là, il aurait pu renoncer, se conformer, s’incliner.
Il a choisi de se lever, d’affronter et de proposer une autre voie.
Depuis, il a été insulté, diabolisé et même caricaturé.
Hier, il était le “petit inspecteur frondeur”. Aujourd’hui, il est Premier ministre. Hier, on le présentait comme un danger. Aujourd’hui, il est l’architecte d’un Sénégal nouveau.
Alors, posons-nous ces questions : Pourquoi cet acharnement ne faiblit-il pas ? Pourquoi, malgré son engagement sans faille pour ce pays, continue-t-on à le calomnier, à tenter de ternir son image ?
La réponse est simple : Ousmane Sonko dérange.
Il dérange parce qu’il n’a jamais cédé aux compromis faciles. Parce qu’il a refusé de courber l’échine devant les puissances de l’ombre. Parce qu’il incarne une rupture réelle, un renouveau tangible, une alternative crédible.
Et plus on le combat, plus il grandit. Plus on cherche à l’affaiblir, plus le peuple raffermit sa confiance en lui. Car au-delà de l’homme, il y a une idée, une vision, une promesse tenue.
Ceux qui espéraient qu’une fois au pouvoir, il s’égarerait dans les labyrinthes du renoncement se sont trompés. Il déroule. Il agit. Il transforme.
Il met en place une administration solide, portée par un référentiel ambitieux : Sénégal 2050.
Il pose les bases d’une économie transparente, souveraine et équitable.
Il redonne au Sénégal sa dignité et son indépendance dans les choix stratégiques.
Face à cela, les attaques ne sont plus de simples critiques politiques. Elles deviennent un acharnement, une obsession. Parce que certains ont bâti leur existence sur un système corrompu, et que voir s’installer la rigueur, la justice et l’équité leur est insupportable.
Mais qu’ils le sachent : rien ne pourra arrêter le train du changement. L’histoire est en marche. Le peuple a choisi. Et chaque insulte, chaque calomnie, chaque tentative de déstabilisation ne fait que renforcer notre détermination.
Ousmane Sonko n’est pas un homme providentiel. Il est un symbole. Celui d’un peuple qui refuse de plier. D’une jeunesse qui refuse de se soumettre. D’un Sénégal qui se réinvente.
Alors qu’ils continuent leurs attaques. Nous, nous continuerons à bâtir.
L’histoire finira toujours par donner raison aux hommes de conviction.
Ibrahima THIAM
Secrétaire Général adjoint de Pastef Les Patriotes