Dans une déclaration poignante, l’honorable député Thierno Alassane SALL a exprimé sa profonde inquiétude concernant la situation politique et économique actuelle du Sénégal, soulignant l’incertitude croissante dans le pays, qui semble naviguer à vue sous un gouvernement dont les promesses et les engagements restent lettre morte. Selon le leader de la République des Valeurs, l’exécutif actuel, dirigé par Sonko-Diomaye, est responsable d’une gestion chaotique et d’un manque de vision concrète pour l’avenir immédiat du pays.
La situation est particulièrement alarmante sur le plan économique, où des mesures d’austérité ont été annoncées, plongeant une grande partie de la population dans un désespoir sans précédent. Les conséquences de ces politiques se font déjà sentir, avec une explosion du service de la dette publique, une masse salariale en hausse sans véritable analyse des privilèges, et des licenciements massifs affectant des milliers de Sénégalais.
Le Parlementaire a également dénoncé une gestion opaque des indemnisations, un manque de sérieux gouvernemental et une tentative d’étouffer la liberté de la presse. Thierno Alassane SALL souligne également la perte d’un décret clé par le gouvernement, ce qui a jeté un doute sur la capacité d’un exécutif déjà fragilisé.
Une question brûlante a également été soulevée : la proposition de loi visant à l’abrogation de la loi d’amnistie. Pour le chef de file de la RV, cette loi constitue une manœuvre d’impunité et un affront à la mémoire des victimes des crimes passés. Un projet d’abrogation a été déposé, soulignant l’importance de la justice et de la vérité pour une réconciliation nationale véritable.
Face à la réticence de PASTEF, le gouvernement et les parlementaires doivent se rendre à l’évidence : l’amnistie ne doit pas faire obstacle à la justice. Un appel a été lancé pour que les responsabilités soient établies et que la vérité soit rendue, dans le respect des attentes légitimes du peuple sénégalais.
Enfin, Thierno Alassane SALL a réaffirmé son engagement à veiller sur les intérêts du peuple, soulignant que son devoir n’est pas de vendre des illusions, mais de dire la vérité et d’exiger que le gouvernement assume pleinement ses responsabilités.