SORTIE D’ABDOU NGUER SUR L’AFFAIRE PRODAC: Les affabulations sataniques d’un « chroniqueur » illuminé….Par Amaury GEUYE

Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, un certain Abdou Nguer qui se dit expert en tout et spécialiste en rien a cru devoir, comme à son habitude, faire des révélations fracassantes pour ne rien dire de nouveau ni d’instructif encore moins de constructif.

Sur le dossier PRODAC qui n’a pas été une exception à sa règle de ne rater aucune occasion de vouer aux gémonies le nouveau régime, l’opposant encagoulé insinue que pour le détournement d’un milliard M Mamina Daffé est en prison alors que dans le même temps, M Jean Pierre Senghor, qui aurait validé le décaissement de plus de 8 milliards est libre comme le vent.

Protégé qu’il serait par et à la Primature.
Si le ridicule tuait, Abdou Nguer disparaîtrait comme une peau de chagrin. En effet le rapport qui lui sert de source d’inspiration pour la claquer sur l’affaire PRODAC dont il ne maîtrise nullement les tenants et les aboutissants n’en est pas un.

Il est nul et non avenu. Le moment venu, la vérité va éclater au grand jour sur cette affaire tient en haleine tout un peuple. C’est son droit le plus élémentaire de savoir. Pour le moment, Jean Pierre Senghor n’a pas à avancer des arguments de bonne foi face à des gens de mauvaise foi. Il n’est pas dans le temps des diffamateurs calomniateurs de métier pour répondre, comme un automate, à leurs récurrentes inepties et affabulations.

Qu’Abdou Nguer ait le courage de ses idées et de ses convictions pour faire une sortie beaucoup plus affirmative et claire sur ce qu’il veut faire croire à l’opinion publique concernant Jean Pierre Senghor, il regrettera amèrement d’être entré par effraction dans le cercle restreint des chroniqueurs dont la compétence, l’honnêteté, la crédibilité, l’objectivité et singulièrement la culture générale ne souffrent d’aucune remise en cause.

Que le chroniqueur travesti en colporteur de ragots soit prêt à assumer le jeu dangereux auquel il s’exerce depuis un certain temps.

Amary Gueye.