« Les technologies propres n’ont rien de nouveau, mais leur adoption est de plus en plus fréquente car les municipalités cherchent à améliorer la qualité de l’air et de l’eau pour leurs citoyens. De nombreuses entreprises cherchent aussi activement à réduire les coûts – et les risques juridiques et de réputation potentiels – en améliorant leur gestion de l’environnement. Les progrès technologiques, notamment l’Internet des objets (IoT), permettent d’améliorer considérablement les pratiques environnementales, contribuant ainsi à un monde plus propre et plus durable », a déclaré le directeur de l’environnement et des établissements classés M.Baba Dramé lors de cet importante rencontre.