« AUTEUR DE L’ARTICLE : Babacar TOURÉ »
Avec 2458 voix sur les 3918 votants de la commune de Ndoffane dans le département de Kaolack, le parti Pastef a renforcé son hégémonie lors des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024. Un sacre qui porte l’empreinte de la jeunesse du Laghem si l’on en croit au Dr Meïssa Ndao, Coordonnateur de la jeunesse patriotique du Sénégal ( JPS) de la localité.
Très à cheval sur le slogan de la formation politique dirigée par le Président Ousmane Sonko à savoir » le don de soi pour la patrie « , le jeune médecin a rappelé que la consécration de l’idéologie de Pastef a été acquise grâce à un travail de conscientisation et de pédagogie décliné depuis des années vers les populations de la zone.
» Beaucoup de personnes s’engageait en politique pour satisfaire des besoins crypto-personnels, pour acquérir des nominations ou ascensions sociales non méritées pour défaut de qualification professionnelle ou de bonne moralité. Personne ne croyait que l’engagement politique pouvait être désintéressé ou au seul profit de l’amélioration des conditions de vie des populations à la base » s’est souvenu le Dr Meïssa Ndao.
Mais à force d’engagement ferme et de désintéressement sans commune mesure, les populations du Laghem se sont appropriées le » Jub Jubal Jubanti » prôné par le parti Pastef. » Cette victoire éclatante est celle de la jeunesse patriotique, elle est celle de l’espoir des masses conscientes qui espèrent voir leur conditions de vie changer, notamment sur le plan de l’éducation, de la santé » a plaidé le responsable de la JPS de Ndoffane.
» Nous nourrissons beaucoup d’espoir sur l’Agenda National de Transformation » Sénégal 2050″ du président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko. Nous nous érigerons en sentinelles pour que notre commune et même le département de Kaolack puissent être pris en compte dans les programmes et projets de l’État. Mais nous ne baisserons non plus les bras contre les adeptes de la politique politicienne, prompts à changer de camp ou de postures, au nom d’intérêts individuels » a conclu M. Ndao.