A Kaolack ce sont les vernaculaires qui veulent amuser la galerie parce qu’ils ne savent pas que le monde a changé. A eux de s’adapter au monde gouverné par l’internet ou disparaître. En tout cas, les querelles de clocher et les surenchères les combinaisons politiques et les modus opérandi articulés sur le trompe- l’oeil et les pièces sonnantes et trébuchantes ne permettent plus à aucune écurie politique de triompher de son adversaire.
Cela dit, articulons notre démarche politique sur la veille et l’anticipation sur le plan de la communication digitale qui se meut sur un terreau fertile: les réseaux sociaux. En effet, les enfants ont pris le pouvoir depuis le développement exponentiel de l’internet.
A nous de comprendre que nous les anciens que la relève doit être assurée par les jeunes. Etant rapporteur du comité électoral aux dernières élections législatives, j’ai bien appris que pour conserver les acquis et améliorer les scores à Kaolack, il nous faut prévaloir a tous les niveaux une stratégie basée sur l’inclusion la compétence et une communication efficiente.
Comment penser organiser un meeting à Ndiaffate sous l’impulsion du trio-complotiste du Palais dirigé de main de maître par le trotskiste en chef ,si ce n’est pour repositionner ses pions a Kaolack. Dites au Président de la République de le reporter pour l’organiser a Guinguinéo et ce, après le Ramadan. En tout cas, l’organiser à Ndiaffate, c’est aussi faire perdre à BBY le pouvoir. Dites- vous bien les initiateurs ,vous travaillez pour qui ?
*Ibrahima Diasse,
Auteur-Écrivain
Coordonnateur national du Parti APEL/3J.