Je disais dans mon article « le temps des laudateurs » ceci:
« Ils ont oublié toutes les explications données par les juristes rédacteurs de la nouvelle Constitution sur l’interprétation des dispositions de la Constitution sur le renouvellement du mandat du Président de la République, les promesses faites durant les campagnes électorales du référendum à maintenant. »
Mon collègue le Professeur Ismaïla Madior Fall, Ministre d’État, m’apporte sa réplique courtoise et critique.
Je le remercie. Car dans l’espace public, du débat des idées naissent souvent des idées salvatrices.
Cependant si « la parole donnée » n’a plus de valeur, s’il n’y a plus d’éthique de « la parole donnée », alors devons-nous considérer que les démonstrations ci-dessous n’étaient que subterfuges pour tromper l’opinion?
Si c’est bien le cas nous devons alors désespérer.
Et les étudiants que feront-ils des leçons de droit qu’ils apprennent difficilement et pour lesquelles ils reçoivent des notes qui évaluent leurs compétences.
L’assertion juridique est-elle tellement mouvante que dans les mêmes situations elle peut allègrement épouser son contraire?
J’aimerai bien comprendre.
Car le mathématicien que je suis comprend difficilement cette dialectique entre hier et aujourd’hui.
disais dans mon article « le temps des laudateurs » ceci:
« Ils ont oublié toutes les explications données par les juristes rédacteurs de la nouvelle Constitution sur l’interprétation des dispositions de la Constitution sur le renouvellement du mandat du Président de la République, les promesses faites durant les campagnes électorales du référendum à maintenant. »
Mon collègue le Professeur Ismaïla Madior Fall, Ministre d’État, m’apporte sa réplique courtoise et critique.
Je le remercie. Car dans l’espace public, du débat des idées naissent souvent des idées salvatrices.
Cependant si « la parole donnée » n’a plus de valeur, s’il n’y a plus d’éthique de « la parole donnée », alors devons-nous considérer que les démonstrations ci-dessous n’étaient que subterfuges pour tromper l’opinion?
Si c’est bien le cas nous devons alors désespérer.
Et les étudiants que feront-ils des leçons de droit qu’ils apprennent difficilement et pour lesquelles ils reçoivent des notes qui évaluent leurs compétences.
L’assertion juridique est-elle tellement mouvante que dans les mêmes situations elle peut allègrement épouser son contraire?
J’aimerai bien comprendre.
Car le mathématicien que je suis comprend difficilement cette dialectique entre hier et aujourd’hui.