Plus ça monte dans la prise en charge des préoccupations précises des Sénégalais comme l’électricité, plus ça monte dans l’entreprise de dénigrement du Directeur Général de la SENELEC, Monsieur Papa Mademba Bitèye. Quel péché aurait commis ce manager doublé d’un homme du sérail qui ne prend la parole que par son action quotidienne ? C’est vraiment à n’y rien comprendre ! Les malhonnêtes jettent un véritable brouillard devant le tableau de bord de la République : prendre en charge les demandes citoyennes et améliorer, du coup, les conditions de vie de nos compatriotes. Et sur ce point, force est de reconnaître que la bonne santé de la SENELEC relève de l’évidence. Entre la demande et l’offre, le courant passe. Sauf à s’engluer dans une malhonnêteté intellectuelle renversante !
Une telle attitude génère une méchanceté gratuite pendant que les machines à énergie électrique génèrent la qualité de vie. Franchement, le choix est vite fait entre l’action et le bavardage nocif ! La mission républicaine consistant à produire et distribuer l’énergie électrique ne saurait se rabaisser au niveau de la charge déshonorante de médire et comploter. Le courant de l’éthique ne passe pas, en vérité ! Il n’existe, sous ce rapport, aucun compromis possible entre les vertus du travail et les tares de la méchanceté gratuite.
Les auteurs de cette attitude contreproductive voient leur mauvaise foi électrocuter leur honorabilité. Ils restent de vulgaires machines à dénigrements ayant leur échoppe terne et puante dans les médias. Leur courage ne prospère que dans la manipulation des consciences et le chantage abject. Ces tireurs embusqués n’ont que faire de projets et de réalisations. Ils n’ont que faire de faits de preuves. Non, tout ça reste trop compliqué pour des adeptes de la religion de la légèreté et de la facilité ! Ils foncent, tête basse, sur l’autoroute de la démesure et de l’outrage. Ils n’ont pas mal à la conscience lorsqu’ils dénigrent et diffament. Ils cherchent à porter atteinte à l’une des choses les plus précieuses en l’homme : l’honorabilité. C’est peine perdue car, que serait devenu le monde si les vociférations des patriotes de la cinquantième heure pouvaient démolir les états de service des patriotes de la première heure ?
C’est une espèce rare qui ne siège que dans le cercle des distingués. Ces personnes qui ont appris à se forger une réputation et un caractère par la force de leur travail et, surtout, de leur dévouement à l’intérêt général. Cet acharnement est malvenu car il ne détournera pas la SENELEC de sa mission. Il y va de l’avenir du Sénégal !