Toutes les grandes actions partent d’un rêve.Et le philosophe David Hume, de pontifier : »J’aime celui qui rêve l’impossible ». Parfois, il faut rêver pour atteindre le graal. Rêver en ayant , toutefois, foi en l’avenir car, avec elle (la foi), on peut soulever des montagnes et bâtir des civilisations. Avec Mamadou Ndoye Bane, candidat déclaré à la Mairie de la Commune de Pire (département de Tivaouane), le rêve est donc permis.Oui, il est permis !Voilà un jeune conscient de son devoir de citoyen engagé qui entend extraire sa localité de Pire de la pire situation où elle est empêtrée du fait d’un homme à la vision courte pour enfin, la basculer entre des mains pures, immaculées et expertes.
En véritable sapeur-pompier, Ndoye Bane comme on l’appelle avec un brin d’affection, veut révolutionner Pire en la propulsant dans le firmament des Communes émergentes et toujours citées en modèle de leadership éclairé. Pour le célèbre animateur du Groupe Futurs Médias (GFM), Pire doit changer et va changer. Voilà donc tout le sens du vrai combat de cet adepte du réalisme politique. Il ne se veut pas un citoyen godillot, inactif et simple spectateur de l’évolution de la situation…politique mais, un homme de développement, toujours engagé au front pour faire bouger les lignes. Il a comme torche sur le sentier sinueux et parsemé de points d’embûches et qui mène au fauteuil municipal, ces propos lus et retenus comme un bréviaire de vie et pour la vie : »Chaque génération doit, dans une relative opacité , faire face à son destin. Soit elle le trahit soit elle le remplit » .Cette maxime de Frantz Fanon résume, à bien des égards, la posture politique actuelle de Mamadou Ndoye Bane qui, de cette manière-ci, opte pour le deuxième postulat. Oeuvrer pour élever le niveau de vie des populations de sa chère Commune, reste et demeure un objectif, voire un impératif.
Son attachement pour Pire est profond, voire viscéral. Ndoye Bane , une fois élu, veut donner à cette localité historique, ce véritable berceau de l’Islam dans le Kadjoor, toute sa vocation de Cité religieuse digne de ce nom. Il est même un truisme de le rappeler: Pire a l’honneur d’abriter la première université islamique de l’Afrique de l’Ouest, et donc, l’ancêtre des foyers religieux du Sénégal. Elle mérite donc une place de choix pour préserver cet immense et glorieux héritage de Mame Khaly Amar Fall.
Mamadou Ndoye Bane s’est aussi engagé sur le terrain de l’action utile. Pour dire, il n’a pas attendu la veille des élections territoriales pour faire de la navigation à vue, du populisme de mauvais aloi. Il a toujours accompagné les femmes sur le chemin de l’autonomisation financière avec des dons en moulins à mil et autres modules de formation. Les jeunes et les religieux de la Commune l’ont toujours ressenti et ce, durant les moments de joie comme de peine. Ainsi, son accession au pouvoir local va lui permettre d’avoir les coudées franches pour mieux les servir. Il ambitionne, aujourd’hui, d’être Maire de Pire pour pouvoir densifier et étendre davantage ses actions sociales si dignes de louanges dans tout le périmètre communal. Pour y aboutir, nous lançons un vibrant appel à toutes les sensibilités politiques, les associations de jeunes et de femmes, les leaders d’opinions,bref, toutes les forces vives de la Commune de Pire de s’unir pour soutenir la candidature de cet illustre fils de la localité. Il est une chance pour Pire et il sera regrettable de ne pas la saisir, à temps !
Avec MNB, Pire va entamer sa marche résolue, je n’en doute point, vers l’émergence socio-économique.
*Ibrahima NGOM Damel,
Journaliste