Une information relayée par un site de la place fait état de jets de pierre qu’auraient essuyé leaders de la coalition YAW qui prennent part à la caravane de leur coalition dans les artères de Kolda. Elle relève d’une grotesque et éhontée tentative de manipulation de l’opinion.
La vérité est qu’après avoir prêché dans le désert hier à l’entrée de Kolda faute de trouver une foule, il a fait dans la violence verbale. Il cite nommément Mame Boye Diao et Fabouly Gaye de vouloir caillasser son cortège .
Mensonge enfantin basé sur des suppositions pour quelqu’un qui aspire à diriger le Sénégal.
Aujourd’hui après avoir prêché dans le désert sans être suivi, Sonko à cru devoir s’arrêter pendant 1h au niveau du pont Abdoul Dialla qui est une des zones névralgiques de Kolda. Il n’en fallait pas plus pour créer un embouteillage monstre lequel a transformé le pont en une zone de convergence des populations soucieuses d’en savoir la cause.
Le but recherché étant naturellement pour le leader Pastef combler le flop de la veille pour fabriquer une mobilisation afin de faire croire à l’opinion que Kolda est acquise à sa cause politique. Les accusations de jets relèvent tout aussi d’une farce de mauvais goût tendant à mettre en mal le locataire de l’hôtel de ville avec la population.
En vérité ce sont plutôt les nervis de Sonko armés jusqu’aux dents qui arrivés à hauteur de la mairie ont cru devoir faire dans la provocation par l’intimidation. Les inconditionnels de M B Diao qui n’avaient comme armes que les spécimen des bulletins de vote de BBY sont restés sereins.
A ce moment précis Mame Boye Diao qui est accusé d’être l’instigateur des faits était déjà parti dans un autre quartier prendre part à une activité des retraités. Telle est la vérité des faits Toute autre version relèverait de la manipulation. Ça coule de source que le leader de Pastef est passé maître dans l’art de distiller des contre vérités à tout va. L’opinionf vient de trouver au fieffé mythomane qu’il est deux autres facettes: celles de la manipulation et de la victimisation.
La cellule de com BBY Kolda