Jeudi, au quartier de Arafat à Grande, une dame a surpris dans le lit conjugal, son époux avec une autre femme. Les faits se passent de commentaires. Jeudi, vers 22 heures, une dame à surpris son époux dans le lit conjugal avec son amante au quartier Arafat de Grand-Yoff.
Selon nos informations, il ressort que depuis le week-end dernier, la dame en questions s’est présentée au domicile son avant et à l’épouse de ce dernier, sous le sceau de cousine venue du village. Elle sera bien accueillie et bien traitée.
Cependant, entre mardi et mercredi, l’épouse conçue soupçonna sa douce moitié de flirter avec sa supposée cousine. C’est sur ces ebtrefates qu’elle commence à épier, à la maison, tous les gestes et faits des mis en causes. Résultats des courses, ce jeudi, alors qu’elle prétendait faire un tour chez ses parents à quelques mètres de là, elle reviendra plutôt que prévu sur ses pas.
Et grande fut sa surprise quand, la porte poussée, ce sont des gémissement qui attroupement son attention. Elle attendit quelques minutes pour se faire une idée exacte de ce qui passait dans son lit conjugal. Ainsi, alors que les gémissement se faisaient persistants et ne pouvant plus se maîtriser, ses pieds tremblottant, elle force la porte et surprend comme par enchantement, son époux sur sa supposée cousine. Elle use de toutes cordes vocales et ameute le quartier. Les gens accourent de partout et viennent aux nouvelles. Elles expliquent la scène d’adultère de son mari dans sa propre avec une autre femme. « Djiby. Djiby. Djiby. Qu’est-ce que tu as fait », s’epoumonne la femme du bailleur de la maison car le mis en cause vit en location avec son épouse et leurs deux enfants dont le derniers n’a que quelques mois. Devant l’ambiance indescriptible, l’homme surpris tenté de faire le « guerrier ».
Sans sourciller, il menace de répudier son épouse qui, selon lui, ne devrait pas amputer le quartier. Mais il sera vite raisonner en vain par les voisins. Du haut du balcon, il décrypte les messages au rez-de-chaussée tandis que la cousine supposée, faisait ses affaires.
Et pour calmer les choses, les habitants du quartier reussisent à maîtriser la dame cocue en sanglots. Pendant ce temps, les deux tourtereaux descendent tout doucement du premier étage et s’étalent sous les huées des voisins du quartier. N’empêche, elle a quitté les lieux en secouant la poussière de ses sandales, le sac en bandoulière et un sachet en lastique entre les mains.